Les différents troubles digestifs, SIBO, IMO, candida,
Syndrome du colon irritable, maladies auto-immunes...
CROHNIQUES
LES MICI : 7000 NOUVEAUX CAS CHAQUE ANNÉE EN FRANCE !
Les maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (ou MICI) regroupent la maladie de Crohn (MC) et la rectocolite hémorragique (RCH). Toutes deux se caractérisent par une inflammation de la paroi d'une partie du tube digestif, due à une dérégulation du système immunitaire intestinal.
Après avoir du interrompre mon activité professionnelle, il y a 5 ans, mon état de santé m’a obligé à reconsidérer mes priorités.
En effet, une algodystrophie connue sous le nom d'algoneurodystrophie ou de “syndrome douloureux régional complexe” est survenue de façon progressive et insidieuse…
Sa localisation épaule/poignet, a stoppé nette toute activité professionnelle et vie sociale.
Jusqu’ici, je gérais au mieux mon crohn (29 ans), une fibro existante, diagnostiquée sur le tard en 2016, apparue à la naissance de mon fils aîné (26 ans).
Des douleurs, de plus en plus violentes et sévères les unes que les autres m’obligent à consulter aux urgences.
Une prise en charge difficile de la douleur, soit deux ans d’investigations, d’examens, pour finalement m’abandonner à mon triste sort, seule face à l’incompréhension médicale. Mais chaque souffrance nous apporte son lot de consolation.
Je peux affirmer aujourd’hui, avec du recul, que ce qui nous arrive a du sens, les incidents de parcours, les obstacles, nous grandissent un peu plus.
Chaque évènement de notre vie, doit être considéré comme une porte de sortie, une occasion de pouvoir se réaliser autrement, différemment de l’existant. Ce qui doit arriver arrivera, ce qui ne doit pas se faire ne sera pas !
Malheureusement, en période de crise sévère, difficile de l'intégrer, l'incompréhension domine, la douleur omniprésente vous empêche d'être vous.
En effet, une algodystrophie connue sous le nom d'algoneurodystrophie ou de “syndrome douloureux régional complexe” est survenue de façon progressive et insidieuse…
Sa localisation épaule/poignet, a stoppé nette toute activité professionnelle et vie sociale.
Jusqu’ici, je gérais au mieux mon crohn (29 ans), une fibro existante, diagnostiquée sur le tard en 2016, apparue à la naissance de mon fils aîné (26 ans).
Des douleurs, de plus en plus violentes et sévères les unes que les autres m’obligent à consulter aux urgences.
Une prise en charge difficile de la douleur, soit deux ans d’investigations, d’examens, pour finalement m’abandonner à mon triste sort, seule face à l’incompréhension médicale. Mais chaque souffrance nous apporte son lot de consolation.
Je peux affirmer aujourd’hui, avec du recul, que ce qui nous arrive a du sens, les incidents de parcours, les obstacles, nous grandissent un peu plus.
Chaque évènement de notre vie, doit être considéré comme une porte de sortie, une occasion de pouvoir se réaliser autrement, différemment de l’existant. Ce qui doit arriver arrivera, ce qui ne doit pas se faire ne sera pas !
Malheureusement, en période de crise sévère, difficile de l'intégrer, l'incompréhension domine, la douleur omniprésente vous empêche d'être vous.
LE CROHN et la Recto Colique Hémorragiques ou symptômes des MICI (maladies inflammatoires chroniques des intestins)
1
29 ans de crohn !
Le Crohn est une maladie auto-immune classée dans les maladies incurables, pour ma part 29 ans de crohn et en rémission ou en quiescence selon, mais peut être évolutive !
Chaque année un rendez-vous médical est pris, avec une fibrocolonoscopie tous les deux ans.
Ayant jusqu'ici, toujours refusé la biothérapie par méconnaissance et surtout par manque d'informations éclairées. Lorsque que j'étais prête à l'accepter, 25 ans après, on me l'a refusé, considérant que "mon crohn" était en quiescence. Parfait, me direz-vous !
J'ai du quand-même prendre le méthotrexate, une première fois, par injections (infirmière) pour mes douleurs généralisées de la fibro, mais apparemment le dosage n'était pas suffisamment adapté et la seconde fois, dix ans après, pris par voie orale, pendant un mois, mais cette fois non supporté ! (crise d'herpès labiale, associée à une grosse fatigue) et pour cause, présence de gluten !
Mon crohn s'est réactivé, il y a peu de temps en 2015, une piste peut-être par celle de la prise quotidienne de l'aoe-vera, dont je suis apparemment hautement intolérante, mais ça je ne le savais pas !
Démarchée sur mon lieu de travail alors que je me sentais bien, depuis des années. On me le proposait pour le crohn, l'ayant toujours refusé jusqu'ici, considérant ne pas en avoir besoin.
La démarche est assez contentieuse, car supposée "guérir de tout".
Je prévenais que malgré mes différentes pathologies existantes et connues. Je gérais. Comme on m'avait toujours incitée à en prendre partout là où je m'installais lors de mes différents déménagements, en plus des bons echos de personnes souffrant d'autres pathologies lourdes, comme la SEP, je ne me suis nullement méfier, ayant toute confiance en la Nature !
En début de maladie, j'ai du prendre en traitement allopathique dans un premier temps, du rowasa, du pentasa lavement, de la salazopyrine, du topalgic (fissure et abcès anal), daflon, et surtout 13 ans de corticoïdes, devenue cortico-dépendante et ponctuellement du méthotrexate.
Cette prise en charge médicale de cette pathologie a considérablement contribué à retrouver un semblant de mieux-être, soulageant essentiellement les symptômes et ses conséquences.
Depuis 29 ans, le crohn, cette maladie auto-immune fait partie intégrante de ma vie, on cohabite !
En 1997, vue la perte de poids conséquente, un kilo par jour, en dessous de 50 kilos, il fallait trouver la solution de prise en charge.
Avec mon gastro-entérologue de l'époque, on optait pour l'alimentation par catheter parentéral. Suspicion de maladie débutante du crohn, avec la présence d'une dizaine d'ulcères, en plus d'un abcès anal et fissures. Il fallait mettre en repos "mon tube", et surtout m'alimenter, reprendre des forces.
Je me rapelle lui avoir dit, il faut que j'arrête de manger. C'était sans savoir, que je n'étais pas dans le faux. Manger était non pas intutile, mais mon corps n'en profitait pas. Il fallait agir vite et bien.
Le verdict tombait, tombé comme un couperet sans explications. Les visiteurs de ma voisine de chambre, ont déjà entendu parlé du crohn. Ils me regardent avec beaucoup d'empathie, de compassion. Je ne me formalise pas, un peu sonnée quand même de l'annonce brutale par l'infirmière. La porte entrouverte derrière elle, se referme aussitôt dit.
Fort heureusement, j'avais lu quelques temps avant, un article dans le "Femme Actuelle" sur la maladie de crohn, lorsque je travaillais. Je me souviens avoir émis cette hypothèse. Ma patronne de l'époque balayant du revers de la main, cette supposition. Loin de me douter que ce diagnostic tomberait peu de temps après.
Sortie de 15 jours d'hospitalisation, je me vois prendre des dizaines de canettes de vanille protéinées à la pharmacie pour pallier aux carences dues à la perte de poids si soudaine. En principe, j'aurai du rester un mois, excepté en tant que maman solo, je ne pouvais compter sur personne pour garder ma fille aussi longtemps...
Dès l'annonce choc de la maladie, j'ai appliqué à la lettre les recommandations, dont l'arrêt du tabac, illico presto !
Le Crohn est une maladie auto-immune classée dans les maladies incurables, pour ma part 29 ans de crohn et en rémission ou en quiescence selon, mais peut être évolutive !
Chaque année un rendez-vous médical est pris, avec une fibrocolonoscopie tous les deux ans.
Ayant jusqu'ici, toujours refusé la biothérapie par méconnaissance et surtout par manque d'informations éclairées. Lorsque que j'étais prête à l'accepter, 25 ans après, on me l'a refusé, considérant que "mon crohn" était en quiescence. Parfait, me direz-vous !
J'ai du quand-même prendre le méthotrexate, une première fois, par injections (infirmière) pour mes douleurs généralisées de la fibro, mais apparemment le dosage n'était pas suffisamment adapté et la seconde fois, dix ans après, pris par voie orale, pendant un mois, mais cette fois non supporté ! (crise d'herpès labiale, associée à une grosse fatigue) et pour cause, présence de gluten !
Mon crohn s'est réactivé, il y a peu de temps en 2015, une piste peut-être par celle de la prise quotidienne de l'aoe-vera, dont je suis apparemment hautement intolérante, mais ça je ne le savais pas !
Démarchée sur mon lieu de travail alors que je me sentais bien, depuis des années. On me le proposait pour le crohn, l'ayant toujours refusé jusqu'ici, considérant ne pas en avoir besoin.
La démarche est assez contentieuse, car supposée "guérir de tout".
Je prévenais que malgré mes différentes pathologies existantes et connues. Je gérais. Comme on m'avait toujours incitée à en prendre partout là où je m'installais lors de mes différents déménagements, en plus des bons echos de personnes souffrant d'autres pathologies lourdes, comme la SEP, je ne me suis nullement méfier, ayant toute confiance en la Nature !
En début de maladie, j'ai du prendre en traitement allopathique dans un premier temps, du rowasa, du pentasa lavement, de la salazopyrine, du topalgic (fissure et abcès anal), daflon, et surtout 13 ans de corticoïdes, devenue cortico-dépendante et ponctuellement du méthotrexate.
Cette prise en charge médicale de cette pathologie a considérablement contribué à retrouver un semblant de mieux-être, soulageant essentiellement les symptômes et ses conséquences.
Depuis 29 ans, le crohn, cette maladie auto-immune fait partie intégrante de ma vie, on cohabite !
En 1997, vue la perte de poids conséquente, un kilo par jour, en dessous de 50 kilos, il fallait trouver la solution de prise en charge.
Avec mon gastro-entérologue de l'époque, on optait pour l'alimentation par catheter parentéral. Suspicion de maladie débutante du crohn, avec la présence d'une dizaine d'ulcères, en plus d'un abcès anal et fissures. Il fallait mettre en repos "mon tube", et surtout m'alimenter, reprendre des forces.
Je me rapelle lui avoir dit, il faut que j'arrête de manger. C'était sans savoir, que je n'étais pas dans le faux. Manger était non pas intutile, mais mon corps n'en profitait pas. Il fallait agir vite et bien.
Le verdict tombait, tombé comme un couperet sans explications. Les visiteurs de ma voisine de chambre, ont déjà entendu parlé du crohn. Ils me regardent avec beaucoup d'empathie, de compassion. Je ne me formalise pas, un peu sonnée quand même de l'annonce brutale par l'infirmière. La porte entrouverte derrière elle, se referme aussitôt dit.
Fort heureusement, j'avais lu quelques temps avant, un article dans le "Femme Actuelle" sur la maladie de crohn, lorsque je travaillais. Je me souviens avoir émis cette hypothèse. Ma patronne de l'époque balayant du revers de la main, cette supposition. Loin de me douter que ce diagnostic tomberait peu de temps après.
Sortie de 15 jours d'hospitalisation, je me vois prendre des dizaines de canettes de vanille protéinées à la pharmacie pour pallier aux carences dues à la perte de poids si soudaine. En principe, j'aurai du rester un mois, excepté en tant que maman solo, je ne pouvais compter sur personne pour garder ma fille aussi longtemps...
Dès l'annonce choc de la maladie, j'ai appliqué à la lettre les recommandations, dont l'arrêt du tabac, illico presto !
Une phrase de ma gastroentérologue a résonné en moi : "Si vous ne cessez pas de fumer, vous serez partie dans six mois." Cette spécialiste, que j'ai consultée lorsque je vivais à Quimper, je peux la remercier encore aujourd'hui pour son professionnalisme, sonouverture d'esprit et sa franchise. M'avouant être dépassée par cette pathologie, elle m'a orientée vers une meilleure prise en charge à Rennes.
Nous "les crohniens", nous avons une prédisposition génétique en plus d'un facteur déclencheur, (surmenage,stress, bactérie...), dans mon cas des amibes lors d'un séjour au Sénégal en 1994, éclos 3 ans après, ont par déduction, très certainement, étaient un des éléments déclencheurs, et pas des moindres...
Une augmention des cas d'année en année est observée dans les pays industrialisés, avec une mise en évidence d'une alimentation ultra-transformée. La " malbouffe " est un facteur aggravant, dans l'émergence de la maladie, je dirais de toute pathologie latente.
Nous "les crohniens", nous avons une prédisposition génétique en plus d'un facteur déclencheur, (surmenage,stress, bactérie...), dans mon cas des amibes lors d'un séjour au Sénégal en 1994, éclos 3 ans après, ont par déduction, très certainement, étaient un des éléments déclencheurs, et pas des moindres...
Une augmention des cas d'année en année est observée dans les pays industrialisés, avec une mise en évidence d'une alimentation ultra-transformée. La " malbouffe " est un facteur aggravant, dans l'émergence de la maladie, je dirais de toute pathologie latente.
Devenue cortico-dépendante, après quasiment 13 années de corticothérapie, aujourd'hui, je ne prends plus rien pour mon crohn, sauf en cas de crise, du pentasa lavement, traitement qui me permet de soulager et de pallier aussitôt lors de survenue de maux.
Mais après réflexion, je constate que certains aliments sont hautement déclencheurs. Car je suis devenue hautement intolérante à certains aliments, à certains compléments alimentaires et surtout à certains excipients dans les médicaments.
C'est pourquoi, il est capital, avant toute chose de différencier l'allergie de l'intolérance.
L'intolérance est plus subtile, plus pernicieuse, des alertes comme des problèmes de peau, râclement de la gorge, congestion nasale, des troubles digestifs, ballonements, flatulences, stéatorrhées, maux de tête, vertiges, anémie, brouillard cérébral, hypocalcémie, douleurs articulaires à long terme peuvent se déclarer quelques heures ou jours après avoir ingérer l'aliment ou alicament, ou traitement. Dans ce cas l'allergologue ne peut le détecter, ni même une biopsie concernant le gluten par exemple, ni un auto-test !
On parlera plutôt d'hypersensibilité que d'intolérance. Ce qui induit en erreur tout diagnostic, d'où l'errance médicale, soit 5 ans.
Une succession de symptômes et de maux invalidants au quotidien persistants, s'installent et deviennent chroniques, malgré une batterie d'examens.
L'inflammation naissante est le siège de douleurs articulaires sévères, d'où ma fibromyalgie diagnostiquée en 2016.
Mais apparue, peu de temps après mon crohn, soit à la naissance de mon fils, il y a 26 ans, mais non diagnositquée durant tout ce temps. Malgré différentes scintigraphies osseuses. A ce jour, aucun examen ne peut déctecter la fibromyalgie* et pour cause !
Mais après réflexion, je constate que certains aliments sont hautement déclencheurs. Car je suis devenue hautement intolérante à certains aliments, à certains compléments alimentaires et surtout à certains excipients dans les médicaments.
C'est pourquoi, il est capital, avant toute chose de différencier l'allergie de l'intolérance.
L'intolérance est plus subtile, plus pernicieuse, des alertes comme des problèmes de peau, râclement de la gorge, congestion nasale, des troubles digestifs, ballonements, flatulences, stéatorrhées, maux de tête, vertiges, anémie, brouillard cérébral, hypocalcémie, douleurs articulaires à long terme peuvent se déclarer quelques heures ou jours après avoir ingérer l'aliment ou alicament, ou traitement. Dans ce cas l'allergologue ne peut le détecter, ni même une biopsie concernant le gluten par exemple, ni un auto-test !
On parlera plutôt d'hypersensibilité que d'intolérance. Ce qui induit en erreur tout diagnostic, d'où l'errance médicale, soit 5 ans.
Une succession de symptômes et de maux invalidants au quotidien persistants, s'installent et deviennent chroniques, malgré une batterie d'examens.
L'inflammation naissante est le siège de douleurs articulaires sévères, d'où ma fibromyalgie diagnostiquée en 2016.
Mais apparue, peu de temps après mon crohn, soit à la naissance de mon fils, il y a 26 ans, mais non diagnositquée durant tout ce temps. Malgré différentes scintigraphies osseuses. A ce jour, aucun examen ne peut déctecter la fibromyalgie* et pour cause !
Après des examens poussés, si aucun signe clinique évocateur n'est retrouvé, alors on vous oriente vers un PSY. Grosse, grosse déception de cette non-prise en charge. Un fourre-tout quand la médecine reste impuissante.
Nous avons besoin de soulager nos maux, invisibles mais bien réels. Notre souffrance est malheureusement déléguée à une non prise en charge allopathique. En somme, débrouilliez-vous avec ça. Si vous souffrez c'est de votre faute, c'est dans votre tête. On ne peut rien pour vous !
Nous avons besoin de soulager nos maux, invisibles mais bien réels. Notre souffrance est malheureusement déléguée à une non prise en charge allopathique. En somme, débrouilliez-vous avec ça. Si vous souffrez c'est de votre faute, c'est dans votre tête. On ne peut rien pour vous !
A cette époque (1998), on ne parlait pas encore de fibromyalgie. Cette "pathologie" est encore quelque peu ignorée du monde médical. Aucune prise en charge de la douleur en centre anti-douleur pour ma part. Livrée à moi-même durant tout ce temps, seule avec cette douleur omniprésente, fluctuante, capricieuse comme le temps ! Chaque jour est différent. Les crises sévères peuvent ressurgir, selon notre alimentation ou un effort soutenu évalué après coup.
Qu'est-ce qu'une poussée de RCH ?
Elle se manifeste par une diarrhée accompagnée de sang et, le plus souvent, de douleurs abdominales intenses. De la fièvre et une perte de poids peuvent y être associées. La RCH évolue de manière imprévisible, généralement par poussées entrecoupées de périodes sans symptômes. Sa cause est inconnue.
Tout comme la maladie de crohn, la rectocolite hémorragique, fait partie des MICI, et reconnue comme affection de longue durée. La rectocolite hémorragique (ou "RCH") est une inflammation chronique de la muqueuse intestinale (paroi interne de l'intestin) : toujours présente au niveau du rectum, et qui s'étend, fréquemment, de façon continue sur une partie ou sur la totalié du colon.
LES SYMPTÔMES DE LA RECTOCOLITE HÉMORRAGIQUE
La rectocolite hémorragique (RCH) peut se révéler par des symptômes divers selon l'étendue des lésions digestives au moment de la poussée.
Elle se manifeste par une diarrhée accompagnée de sang et, le plus souvent, de douleurs abdominales intenses. De la fièvre et une perte de poids peuvent y être associées. La RCH évolue de manière imprévisible, généralement par poussées entrecoupées de périodes sans symptômes. Sa cause est inconnue.
Tout comme la maladie de crohn, la rectocolite hémorragique, fait partie des MICI, et reconnue comme affection de longue durée. La rectocolite hémorragique (ou "RCH") est une inflammation chronique de la muqueuse intestinale (paroi interne de l'intestin) : toujours présente au niveau du rectum, et qui s'étend, fréquemment, de façon continue sur une partie ou sur la totalié du colon.
LES SYMPTÔMES DE LA RECTOCOLITE HÉMORRAGIQUE
La rectocolite hémorragique (RCH) peut se révéler par des symptômes divers selon l'étendue des lésions digestives au moment de la poussée.
Pour en savoir plus, parlez-en à votre médecin traitant.
Les examens et les soins en rapport avec cette maladie sont alors pris en charge à 100 %, dans la limite des tarifs de l’Assurance Maladie.(ALD).
La rectocolite hémorragique peut être reconnue comme affection de longue durée
Reconnaissance de la rectocolite hémorragique en affection de longue durée comme la maladie de crohn.
Les examens et les soins en rapport avec cette maladie sont alors pris en charge à 100 %, dans la limite des tarifs de l’Assurance Maladie.(ALD).
La rectocolite hémorragique peut être reconnue comme affection de longue durée
Reconnaissance de la rectocolite hémorragique en affection de longue durée comme la maladie de crohn.
Symptômes digestifs de la rectocolite hémorragique
L'atteinte rectale, voire colique, de la maladie se traduit par :
- des rectorragies (saignement par l'anus) ;
- des écoulements de glaires sanglantes par l’anus ;
- des épreintes (fausses envies pressantes et impérieuses d’aller à la selle) ;
- des douleurs rectales et anales avec contracture du sphincter appelée ténesme ;
- une diarrhée, inconstante, accompagnée de glaires et de sang (4 à 20 selles par jour selon l'étendue des lésions rectocoliques) ;
- des écoulements de glaires sanglantes par l’anus ;
- des épreintes (fausses envies pressantes et impérieuses d’aller à la selle) ;
- des douleurs rectales et anales avec contracture du sphincter appelée ténesme ;
- une diarrhée, inconstante, accompagnée de glaires et de sang (4 à 20 selles par jour selon l'étendue des lésions rectocoliques) ;
- des douleurs abdominales (spasmes).
Quelle alimentation pour retrouver un système digestif équilibré?
Mangez des fruits BIO et des légumes cuits plutôt que crus. Pour ma part je me nourrissais exclusivement en début de maladie, de petits pots de compote de bébé, sur conseils de ma gastro-entérologue, des bananes et d'oeufs durs. (éviction de fibres). En période de crise, l'alimentation est non assimilable, surtout en présence d'ulcérations.
Consommez du thé vert et/ou du thé rooibos, des céréales complètes ou semi-complètes (quinoa, riz, millet, sarrasin), des aliments qui aident à réparer la muqueuse, telles que les huiles riches en acides gras essentiels (olive, colza, noix, chanvre).
Associé à une bonne mastication, l'un des éléments essentiels d'une bonne digestion.
Consommez du thé vert et/ou du thé rooibos, des céréales complètes ou semi-complètes (quinoa, riz, millet, sarrasin), des aliments qui aident à réparer la muqueuse, telles que les huiles riches en acides gras essentiels (olive, colza, noix, chanvre).
Associé à une bonne mastication, l'un des éléments essentiels d'une bonne digestion.
Comment réparer la paroi intestinale?
Rétablir dans un premier temps la paroi intestinale, en optant pour une alimentation adaptée, sans fibre et surtout par une alimentation non industrialisée la plus saine possible, le temps que les jonctions serrées de l'intestin grêle reprennent leur fonction, filtrer les microbes et indésirables.
Pour une meilleure Santé Intestinale : La Glutamine !
La glutamine ou L-glutamine est l'acide aminé le plus abondant dans le sang et dans les muscles. Elle joue un rôle dans la synthèse des protéines, la protection immunitaire, le maintien de l'intégrité de la paroi intestinale et l'équilibre acido-basique de l'organisme.
La L-glutamine diminue la perméabilité intestinale et contribue au maintien d'une réponse immunitaire saine liée à l'intestin.
Pour cette raison, il peut aider dans les problèmes gastro-intestinaux suivants, tels que le syndrome de l'intestin qui fuit appelé leaky gut, la colite ulcéreuse, dans les sensibilités alimentaires, la maladie de crohn et la diverticulite.
Pour une meilleure Santé Intestinale : La Glutamine !
La glutamine ou L-glutamine est l'acide aminé le plus abondant dans le sang et dans les muscles. Elle joue un rôle dans la synthèse des protéines, la protection immunitaire, le maintien de l'intégrité de la paroi intestinale et l'équilibre acido-basique de l'organisme.
La L-glutamine diminue la perméabilité intestinale et contribue au maintien d'une réponse immunitaire saine liée à l'intestin.
Pour cette raison, il peut aider dans les problèmes gastro-intestinaux suivants, tels que le syndrome de l'intestin qui fuit appelé leaky gut, la colite ulcéreuse, dans les sensibilités alimentaires, la maladie de crohn et la diverticulite.
Le zinc est un oligo-élément essentiel qui joue un rôle clé dans diverses fonctions de l'organisme, y compris la santé intestinale.
Voici quelques-uns de ses principaux avantages :
Réparation de la muqueuse intestinale : Le zinc contribue à renforcer et réparer la barrière intestinale, réduisant la perméabilité ("leaky gut").
Régulation de l'inflammation : Il possède des propriétés anti-inflammatoires qui aident à calmer les intestins irrités.
Soutien immunitaire : Le zinc est crucial pour le bon fonctionnement du système immunitaire, souvent affecté en cas de déséquilibres intestinaux.
Sources de zinc :
Aliments riches en zinc : Les huîtres, la viande rouge, les graines de citrouille, et les noix.
Compléments alimentaires : Gluconate de zinc ou picolinate de zinc, qui sont bien absorbés par l'organisme.
Cependant, un excès de zinc peut entraîner des effets indésirables (comme des nausées ou une perturbation de l'équilibre du cuivre dans le corps), alors il est conseillé de respecter les dosages recommandés.
Voici quelques-uns de ses principaux avantages :
Réparation de la muqueuse intestinale : Le zinc contribue à renforcer et réparer la barrière intestinale, réduisant la perméabilité ("leaky gut").
Régulation de l'inflammation : Il possède des propriétés anti-inflammatoires qui aident à calmer les intestins irrités.
Soutien immunitaire : Le zinc est crucial pour le bon fonctionnement du système immunitaire, souvent affecté en cas de déséquilibres intestinaux.
Sources de zinc :
Aliments riches en zinc : Les huîtres, la viande rouge, les graines de citrouille, et les noix.
Compléments alimentaires : Gluconate de zinc ou picolinate de zinc, qui sont bien absorbés par l'organisme.
Cependant, un excès de zinc peut entraîner des effets indésirables (comme des nausées ou une perturbation de l'équilibre du cuivre dans le corps), alors il est conseillé de respecter les dosages recommandés.
L'extrait de pépins de pamplemousse (EPP) est un remède naturel aux multiples bienfaits, souvent utilisé pour ses propriétés antimicrobiennes, antioxydantes et immunostimulantes.
Quelques points clés :
Propriétés antimicrobiennes : L'EPP agit contre les bactéries, virus, champignons et parasites, tout en préservant le microbiote intestinal.
Antioxydant puissant : Grâce à sa richesse en bioflavonoïdes et en vitamine C, il aide à protéger les cellules contre le stress oxydatif.
Soutien immunitaire : Il renforce les défenses naturelles de l'organisme, utile notamment en période hivernale.
Applications variées : Utilisé pour traiter les infections digestives, respiratoires, urinaires, ainsi que les problèmes de peau comme l'acné ou les aphtes.
Cependant, il est important de noter que l'EPP peut interagir avec certains médicaments, notamment en modifiant leur métabolisme. Il est donc conseillé de consulter un professionnel de santé avant de l'utiliser, surtout si vous suivez un traitement médical.
Quelques points clés :
Propriétés antimicrobiennes : L'EPP agit contre les bactéries, virus, champignons et parasites, tout en préservant le microbiote intestinal.
Antioxydant puissant : Grâce à sa richesse en bioflavonoïdes et en vitamine C, il aide à protéger les cellules contre le stress oxydatif.
Soutien immunitaire : Il renforce les défenses naturelles de l'organisme, utile notamment en période hivernale.
Applications variées : Utilisé pour traiter les infections digestives, respiratoires, urinaires, ainsi que les problèmes de peau comme l'acné ou les aphtes.
Cependant, il est important de noter que l'EPP peut interagir avec certains médicaments, notamment en modifiant leur métabolisme. Il est donc conseillé de consulter un professionnel de santé avant de l'utiliser, surtout si vous suivez un traitement médical.
Pour améliorer la santé intestinale, en plus de la glutamine et du zinc, voici quelques autres options intéressantes :
Compléments alimentaires
Probiotiques : Ils aident à rééquilibrer le microbiote intestinal, essentiel pour une digestion saine et une meilleure immunité.
Prébiotiques : Ces fibres nourrissent les bonnes bactéries intestinales. L'inuline et les fructooligosaccharides (FOS) sont particulièrement efficaces.
Butyrate de sodium : Utile pour renforcer la barrière intestinale et réduire l'inflammation.
Oméga-3 : Ces acides gras essentiels ont des propriétés anti-inflammatoires qui peuvent apaiser les intestins.
Remèdes homéopathiques :
Nux Vomica : Pour les troubles digestifs liés à une alimentation riche ou au stress.
Lycopodium : Efficace contre les ballonnements et l'inconfort abdominal.
Carbo Vegetabilis : Idéal pour soulager les gaz et la sensation de lourdeur après un repas.
Approches naturelles :
Aloe Vera : Connu pour ses propriétés apaisantes et réparatrices sur la muqueuse intestinale.
Curcuma : Un anti-inflammatoire naturel qui peut aider à réduire les irritations intestinales.
Ces solutions doivent être adaptées à vos besoins spécifiques.
Compléments alimentaires
Probiotiques : Ils aident à rééquilibrer le microbiote intestinal, essentiel pour une digestion saine et une meilleure immunité.
Prébiotiques : Ces fibres nourrissent les bonnes bactéries intestinales. L'inuline et les fructooligosaccharides (FOS) sont particulièrement efficaces.
Butyrate de sodium : Utile pour renforcer la barrière intestinale et réduire l'inflammation.
Oméga-3 : Ces acides gras essentiels ont des propriétés anti-inflammatoires qui peuvent apaiser les intestins.
Remèdes homéopathiques :
Nux Vomica : Pour les troubles digestifs liés à une alimentation riche ou au stress.
Lycopodium : Efficace contre les ballonnements et l'inconfort abdominal.
Carbo Vegetabilis : Idéal pour soulager les gaz et la sensation de lourdeur après un repas.
Approches naturelles :
Aloe Vera : Connu pour ses propriétés apaisantes et réparatrices sur la muqueuse intestinale.
Curcuma : Un anti-inflammatoire naturel qui peut aider à réduire les irritations intestinales.
Ces solutions doivent être adaptées à vos besoins spécifiques.
Quand prendre la glutamine ?
La glutamine renforce l'imperméabilité de l'intestin facilitant ainsi le passage des nutriments et l'élimination des toxines.
Vous pouvez en consommer avant de vous coucher pour optimiser la récupération. Première prise, à jeun, la prendre 30 à 45 minutes en dehors des repas. En cas d'une activité intense, la dose recommandée est de 20 à 30 grammes journalier, soit trois prises/par jour, pour une meilleure répartition quotidienne.
Vous pouvez en consommer avant de vous coucher pour optimiser la récupération. Première prise, à jeun, la prendre 30 à 45 minutes en dehors des repas. En cas d'une activité intense, la dose recommandée est de 20 à 30 grammes journalier, soit trois prises/par jour, pour une meilleure répartition quotidienne.
Où trouver de la glutamine naturelle ?
Viande, poissons, œufs, produits de la mer, légumineuses, épinards, persil et oléagineux (noix, noisettes, amandes...) sont des aliments riches en glutamine, un acide aminé qui joue un rôle dans la synthèse des protéines. Les épinards en période de crise à éviter.
La plante Boswellia Serrata :
L’une des principales propriétés du boswellia* est son action anti-inflammatoire et antalgique permettant de soulager les douleurs articulaires, certaines douleurs abdominales liées à des maladies inflammatoires digestives (maladie de Crohn, colite ulcéreuse), les douleurs menstruelles et les irritations cutanées. Il offre également un effet antiseptique, antifongique et cicatrisant.
L'étude a confirmé que la thérapie à l'extrait de Boswellia serrata n'est pas inférieure à la mésalazine (l'efficacité de la mésalazine pour cette indication a été approuvée par les autorités sanitaires) . Il s'agit donc d'une solution naturelle tout à fait efficace contre la maladie de Crohn*.
Effets indésirables potentiels et contre-indications :
L'étude a confirmé que la thérapie à l'extrait de Boswellia serrata n'est pas inférieure à la mésalazine (l'efficacité de la mésalazine pour cette indication a été approuvée par les autorités sanitaires) . Il s'agit donc d'une solution naturelle tout à fait efficace contre la maladie de Crohn*.
Effets indésirables potentiels et contre-indications :
Contre-indiqué aux femmes enceintes.
Quelques rares allergies cutanées et malaises gastro-intestinaux sont parfois constatés.
Aucune interaction connue si ce n'est une possible augmentation de l'effet des traitements anti-asthmatiques inhibiteurs de la synthèse des leucotriènes.
Quelques rares allergies cutanées et malaises gastro-intestinaux sont parfois constatés.
Aucune interaction connue si ce n'est une possible augmentation de l'effet des traitements anti-asthmatiques inhibiteurs de la synthèse des leucotriènes.
L' Absinthe (Artemisia absinthium), SEDACROHN ou poudre d'absinthe
Ces traitements étaient pris en association avec de la cortisone et les médicaments usuels pour la maladie. Après 8 semaines de traitement à l'absinthe, 13 personnes sur 20 ont rapporté une rémission presque complète de leurs symptômes, et aucune dans le groupe placebo.
Quel probiotique pour la maladie de Crohn ?
La levure Saccharomyces boulardii serait efficace dans la prévention ou la réduction de la durée de la diarrhée associée aux antibiotiques chez les patients atteints de la maladie de Crohn. Mais d'après une étude, des personnes atteintes de la maladie de crohn développent des anticorps contre S.cerevisiae. Ces patients ont vue leurs symptômes diminuer après 30 jours d'éviction de S. cerevisiae alimentaire, et leurs symptômes sont réapparus après ajout de caspules de cette levure dans leur alimentation.
Conclusion : moi même intolérante à la levure de bière, cette souche de probiotique BOULARDII est à PROSCRIRE !!!
Le Probiotique ayant obtenu le meilleur résultat pour soulager le syndrome de l'intestin irritable est le Bifidobactérium Infantis 35624, à noter que ce probiotique a été recommandé par la Société Nationale Française de Gastro-entérologie et la WGO (Word Gastro entérologie Organisation)
Conclusion : moi même intolérante à la levure de bière, cette souche de probiotique BOULARDII est à PROSCRIRE !!!
Le Probiotique ayant obtenu le meilleur résultat pour soulager le syndrome de l'intestin irritable est le Bifidobactérium Infantis 35624, à noter que ce probiotique a été recommandé par la Société Nationale Française de Gastro-entérologie et la WGO (Word Gastro entérologie Organisation)
Un an, randomisé, en double aveugle, essai contrôlé par placebo de probiotiques, Bifidobacterium Infantis 35624 ou Lactobacillus Salivarius UCC118, en tant que compléments alimentaires pour le maintien de la rémission dans la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse
Quelles infusions pour la maladie de Crohn ?
Pour remédier aux douleurs abdominales, il est aussi possible d'utiliser de la Camomille pour ses effets anti-inflammatoires, antispasmodiques et antalgiques. Le Basilic Exotique va également aider pour ses effets anti-inflammatoires et antispasmodiques, mais aussi pour réguler le système neurovégétatif et digestif.
Pour remédier aux douleurs abdominales, il est aussi possible d'utiliser de la Camomille pour ses effets anti-inflammatoires, antispasmodiques et antalgiques. Le Basilic Exotique va également aider pour ses effets anti-inflammatoires et antispasmodiques, mais aussi pour réguler le système neurovégétatif et digestif.
Comment ça va .........(à la selle) ?
A PROPOS de l'étymologie : « Cette expression provient d'une ancienne coutume romaine qui avait pour but de demander
« Comment allez-vous à la selle ? » car on considérait qu'aller régulièrement à la selle était un signe de bonne santé.
La fin de la phrase s'est perdue et il n'en est resté que le début. La constipation est un problème fréquent. Elle peut être causée par une déshydratation, une alimentation pauvre en fibres, ou une activité physique insuffisance.
En quoi consiste le traitement de l’ostéopathe dans le cadre d’une constipation chronique ?
L'ostéopathe dispose d'un ensemble de techniques à visée viscérale afin de répondre aux troubles de ce type. Votre ostéopathe aura pour objectif de redonner de la mobilité à votre côlon afin de favoriser le déplacement de la matière fécale vers le rectum.
On parle de constipation chronique lorsque :
une personne va moins de trois fois à la selle par semaine, que les selles sont dures et/ou que cette personne éprouve des difficultés à les évacuer.
La constipation peut être à l’origine de violentes douleurs abdominales et ballonnements.
Quelle maladie provoque une constipation chronique ?
Enfin, beaucoup plus rarement, la constipation peut être due à une maladie du côlon ou du rectum (diverticulose, cancer colorectal...), une maladie autre : diabète, hypothyroïdie, maladie de Parkinson, sclérose en plaque, dépression, troubles anxieux, sédentarité, manque d'hydratation, absence de fibres...
« Comment allez-vous à la selle ? » car on considérait qu'aller régulièrement à la selle était un signe de bonne santé.
La fin de la phrase s'est perdue et il n'en est resté que le début. La constipation est un problème fréquent. Elle peut être causée par une déshydratation, une alimentation pauvre en fibres, ou une activité physique insuffisance.
En quoi consiste le traitement de l’ostéopathe dans le cadre d’une constipation chronique ?
L'ostéopathe dispose d'un ensemble de techniques à visée viscérale afin de répondre aux troubles de ce type. Votre ostéopathe aura pour objectif de redonner de la mobilité à votre côlon afin de favoriser le déplacement de la matière fécale vers le rectum.
On parle de constipation chronique lorsque :
une personne va moins de trois fois à la selle par semaine, que les selles sont dures et/ou que cette personne éprouve des difficultés à les évacuer.
La constipation peut être à l’origine de violentes douleurs abdominales et ballonnements.
Quelle maladie provoque une constipation chronique ?
Enfin, beaucoup plus rarement, la constipation peut être due à une maladie du côlon ou du rectum (diverticulose, cancer colorectal...), une maladie autre : diabète, hypothyroïdie, maladie de Parkinson, sclérose en plaque, dépression, troubles anxieux, sédentarité, manque d'hydratation, absence de fibres...
Sources et références
https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Publications/Vie-pratique/Fiches-pratiques/Allergene-alimentaire
https://www.digestscience.com/images/documents_a_telecharger/flyer_crohn_digestscience.pdf
https://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Nouvelles/Fiche.aspx?doc=1999100600
https://www.snfcp.org/informations-maladies/maladie-de-crohn-rch/la-rectocolite-hemorragique/
https://www.santenatureinnovation.com/maladie-de-crohn-les-traitements-naturels/
https://www.dr-durantet.com/conseils-nutritionnels/glutamine-quand-faut-il-en-prendre/
https://www.ameli.fr/maine-et-loire/assure/sante/themes/rectocolite-hemorragique/symptomes-diagnostic-evolution
https://www.pileje.fr/revue-sante/mici-probiotiques
https://jmm.afa.asso.fr/
https://www.lanutrition.fr/les-news/maladies-inflammatoires-de-lintestin-il-faut-soigner-son-microbiote
https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Publications/Vie-pratique/Fiches-pratiques/Allergene-alimentaire
https://www.digestscience.com/images/documents_a_telecharger/flyer_crohn_digestscience.pdf
https://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Nouvelles/Fiche.aspx?doc=1999100600
https://www.snfcp.org/informations-maladies/maladie-de-crohn-rch/la-rectocolite-hemorragique/
https://www.santenatureinnovation.com/maladie-de-crohn-les-traitements-naturels/
https://www.dr-durantet.com/conseils-nutritionnels/glutamine-quand-faut-il-en-prendre/
https://www.ameli.fr/maine-et-loire/assure/sante/themes/rectocolite-hemorragique/symptomes-diagnostic-evolution
https://www.pileje.fr/revue-sante/mici-probiotiques
https://jmm.afa.asso.fr/
https://www.lanutrition.fr/les-news/maladies-inflammatoires-de-lintestin-il-faut-soigner-son-microbiote
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Les recherches et citations sont le fruit de ma propre expérience et de mon intérêt évident pour une meilleure santé. Cela ne remplace en aucun cas un avis médical et/ou une visite chez votre médecin traitant et/ou spécialiste.
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